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Un enfant sans enfance, devenu la “Teigne”. Chalandon se glisse dans sa peau et raconte... Les pauvres gosses ! Mais tellement bien écrit !
Richard va mourir, il le sait.
Alors il ne lui reste plus que l'humour et l'amour... Tragique, mais tellement drôle !
Passionnant de la première à la dernière page. Chapeau à l'écrivaine qui a su nous faire toucher du doigt l'ampleur humaine et technique de ce grand homme. Un livre très enrichissant, car très documenté.
Ce polar original et sympathique est encore plus passionnant quand on connait tous les lieux cités. L'enquête est aboutie, l'écriture est belle et parfois drôle. Une grosse bouffée de cette Guadeloupe "chaude, humide et sensuelle" qui sent si bon les Antilles. Un régal dévoré en trois jours.
Voyage immobile fascinant dans ce monde à part qu'est un aéroport, à la recherche de la mémoire disparue de cette femme qui vit là depuis 8 mois...
Un peu confus par moments mais cela correspond à son mal-être. On y croit. Très bien documenté.
Savoureux "tour du propriétaire" du bien vieillir. Sacré Pivot, toujours amoureux des mots... jamais ennuyeux.
Après avoir lu "Le voile noir" et "Je vous écris" j'étais curieuse de savoir quel était ce rêve... C'est sympathique et bouleversant. On comprend ce qui rend Anny Duperey si attachante. Quel curieux destin !
DVC nous amène avec lui dans son délire et on se laisse faire volontiers
car ça fait furieusement du bien, de regarder plus loin, et autrement.
Très agréable à lire, malgré le sujet.
À découvrir !
Ce témoignage fort intéressant bien qu'un peu fouillis et confus nous montre combien l'amour de cette famille pour l'argent est pathétique, et comment ce sale gosse capricieux, à qui on a tout cédé, a pu devenir Président des US. Apparemment, tel père, tel fils...
Remarquable témoignage d'une amitié profonde et indéfectible entre deux jeunes gens de bonne famille. C'est extrêmement bien écrit, bien construit, bouleversant, inclassable. Ça pourrait être un roman, un polar, un thriller ou une science fiction. Avec beaucoup de pudeur, l'auteur cherche une explication à l'inexplicable.
Inconditionnelle de Cherbourg… j'ai été attirée par le titre, mais très vite frustrée que Cherbourg ne se résume qu'à sa rade et ses jetées... Pas un mot sur la Passe de Collignon, le petit Port des Flamands, le boulevard Maritime, la Gare Maritime, le Pont Tournant, la Montagne du Roule, l'Hôpital Pasteur, la rue de la Paix, le Quai Alexandre III, le Derby, le Yalta, la Statue de Napoléon, la Cour Marie et le passage Aubry, etc... et puis déçue par cette histoire un peu tirée par les cheveux, pas très claire, assez anti-nucléaire... bien écrite, mais certainement par un parisien qui ne sait même pas qu'à Cherbourg, c'est la mer, et pas l'océan !
Bien construit, très bien écrit, mais d’une violence inouïe qui ne m'a rien apporté que du dégoût, et la désagréable impression de faire du voyeurisme. Il y a des lectures tellement plus réjouissantes ! J'ai cependant retenu cette phrase : “Les hommes aiment avoir, les femmes aiment pouvoir”...
J'ai lu ce livre parce qu'on en parlait beaucoup. Mais c'est tellement dense, tellement compliqué, tellement détaillé, tellement construit, tellement bien écrit que je m’attendais à une chute exceptionnelle, et finalement ça tombe à plat. J'ai pas compris où l'auteur voulait en venir. Sans doute trop cartésienne...
Syndicalisme des parents, blagues potaches des collégiens, et rancoeurs politiques, c’est une histoire longue, complexe et profonde où cohabitent différents styles, dont une phrase-pensée-épilogue de 52 pages à la fin.
C'est bien mené. Ne pas abandonner avant la fin. Quelques pages d'amour pur pleines d'émotion.
Intriguée par le titre, sans savoir que j'avais le Goncourt 2019 dans les mains, je me suis laissée embarquer par l'auteur pour le Danemark et le Quebec, où il m'a raconté, avec sensibilité et justesse, comment on passe de "fils de pasteur" à la case "prison" en 246 pages très très chouettes. Un vrai bon Goncourt comme on les aime.
Ceci n'est pas un roman, mais un fouillis de portraits et de citations assez pénible à suivre, le bilan (très intéressant) d'une vie riche de rencontres, d'amitiés exceptionnelles et d'expériences enrichissantes, une cacophonie qui, malgré une écriture toujours aussi brillante, n'a pas réussi à m'embarquer, alors que je suis une fan inconditionnelle de cet auteur dont j'ai lu les 3/4 des ouvrages. Là, ça fait un peu "étalage" mais on lui pardonne, car c'est vraiment un très grand Monsieur.
Et puis, ce drôle de titre ! On croit à la faute d'orthographe, impensable. Il aurait juste fallu le faire précéder de "Si c'était à refaire". On doit attendre la fin pour comprendre enfin qu'il s'agit d'une citation de Jorge Luis Borges.
On plonge là dans le milieu bien glauque des tatouages et des tatoués, la rafle des juifs, les goulags de Sibérie, les bordels et les bas fonds de New-York en 1970 puis 1990. Absolument pas mon truc !
Mais j'ai lu cette bd (et la précédente pour comprendre la suivante) car France Inter en a fait la promotion ces dernières semaines, l'offrant même en cadeau aux candidats du jeu des Mille Euros... alors je me suis dit "pourquoi pas ?" et j'ai bien fait. Je ne le regrette pas. J'ai découvert une très belle présentation, beau dessin, bon scénario, très lisible, et des personnages attachants. Et on se prend au jeu... Mais quelle horreur ! A ne pas mettre sous tous les yeux !
A lire ab-so-lu-ment. Ecriture originale dans un français magnifique. Ça sent l'autobiographie, cette histoire d'un couple de parisiens des années 60 avides de signes de richesse, qui rêverait de trouver "une paire de fauteuils Boulle chez un paysan illettré du Poitou"....
Et finalement, quel est le plus important, être ou avoir ?
Assez loufoque et improbable, la fine équipe de Finlandais "bon teint" nous emmène de la Finlande au Portugal, en passant par le Cap Nord en Norvège et le Cap de la Fin du Monde. C'est jouissif et on y croit, et par les temps qui courent, ça fait du bien.
Un régal de lecture. Je découvre cet auteur et son style “par-dessus la jambe” à la fois marrant, original et précis, plein d’apartés avec le lecteur. Très plaisant, voire savoureux. On se laisse emmener... jusque dans le Nord.
Terrible, mais dans le sens épouvantable. J'ai failli abandonner au tiers du livre tellement c'est pas mon truc : les manifs d'étudiants gauchistes à Paris, la guerre au Liban... Et puis il y a la magie et la force d'écriture de Chalandon qui vous emmène plus loin, même si on veut pas. Je n'ai toujours rien compris à l'imbécilité des hommes et à la stupidité de la guerre qui sont, hélas, sans limites, mais j'ai découvert Antigone d'Anouilh que je ne connaissais pas. Jouer cette pièce là-bas, c'était pourtant une belle idée... mais drôle d'idée. Ajouter une tragédie à la tragédie... Et pour quel public ?
Bref, un bouquin qui sent le vécu et qui prend aux tripes. C'est violent. Âmes sensibles s'abstenir.
Tout en douceur et en poésie, dans un style très personnel (avec des mots qui rebondissent en ricochets), l'auteure se glisse dans l'intimité d'un déraillement. Douloureux mais magique.
Le tendre deuil du père, raconté par sa fille. Superbe et drôle. Très belle écriture.
Il n'a pourtant pas l'air, mais quel poète ce Bartabas, quand il parle de ses chevaux ! Il nous fait entrer dans un autre monde. Un livre à offrir à tous les cavaliers.
C'est même conseillé !
Papa d'enfants handicapés (au pluriel, s'il vous plait !), sujet grave s'il en est, Fournier dévoile avec tendresse et un humour noir décapant, le quotidien de ses garçons. Sortez vos mouchoirs !
Lu dès sa sortie en 2011 : deux heures d'émotion pure !
"J'ai perdu ma meilleure moitié"...
Une autobiographie très originale d'une honnêteté toute à l'honneur de l'auteur. C'est concis, drôle et tendre, comme d'hab'.
C'est aussi court et cinglant que sa douleur doit être vive et profonde. Mais l'humour est toujours là !
Après ses deux fils handicapés, il n'a vraiment pas de bol avec ses enfants.
Une histoire d’amour douce-amère, d’une loufoquerie invraisemblable, dans un style aux rimes discrètes. Ce jeune Auteur ira loin. Quelle imagination ! Que ça fait du bien de dévorer un truc aussi déjanté ! Une vraie gourmandise.
Amélie Nothomb n'aurait-elle pas abusé du champagne ?
ça ne fera pas un Goncourt...
Magnifique, intense. Lu d'une seule traite tellement ça me parle ! J'ai lu tout Benoîte Groult, alors lire sa descente en Alzheimer !!! J'ai connu la même chose avec ma propre mère qui elle aussi a perdu un enfant, mon grand frère qui avait 4 ans. On pleure beaucoup. On rit parfois. Un livre que j’aimerais garder, mais je vais le rendre à la Médiathèque pour que d'autres aient autant de bonheur que moi à le lire.
Surprise que l'auteur soit une femme tellement ce polar est viril. Histoire bien sordide et vengeance à la hauteur. Bien construit, bien écrit. A dévorer.
Embarquée dès la première page dans cette spirale infernale remarquablement écrite. Prix Goncourt entièrement mérité.
Je pensais me régaler, mais non. L'auteur se comprend certainement, mais pas le lecteur. D'ailleurs, j'ai abandonné au milieu, ce qui est rare, mais là, c'est tout de même gentiment quelconque.
C'est en plein hiver, c'est âpre, parfois poétique et sentimental. Relu deux fois de suite, mais toujours pas compris l'épilogue...
Après les premières pages où il faut apprivoiser et "entraver" la gouaille de l'auteur, on se laisse embarquer dans le milieu (très fermé) du jeu professionnel, où les rapports humains sont compliqués, et la lâcheté très masculine...
Ecriture très vivante, facile à lire. Histoire très positive. Un livre qui fait du bien.
Tome III, toujours aussi addictif.
Tome II, super chouette, malgré cette proximité, cet appât du gain, cette exubérance italienne parfois insupportable.
Tome IV, quel triste bilan… moi je, moi je…
L'auteure et son amie sont vraiment de vraies fofolles.
Sublime ! Encore un grand Labro.
Comment un auteur de cet âge-là peut-il se glisser aussi intimement dans la peau d'une ado ?
Remarquable épopée de 3 gamins pendant la dernière guerre. On attend le 6ème album avec impatience.
Savoureux souvenirs d’enfance de mon Prof d’allemand de 4ème et 3ème. Il est parti dans sa 100ème année, en 2018.
Document très instructif sur la famille Kennedy, et découverte du drame qu'a été la vie de cette pauvre Rosemary, tellement attachante. Même les gens riches et célèbres ont leurs épreuves...
construction originale, finesse des descriptions, sensibilité, suspense, c'est chouette, très très chouette.
Avec toute sa sensibilité et sa drôlerie habituelles, Anny nous fait découvrir son rapport avec les chats et les poules. On en apprend beaucoup. A lire sans modération.
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